KONE SIBIRY, DG SIKO GROUPE :
«Soyez passionnés, travaillez sans relâche, endurez tout dans la passion »
Koné Sibiry est le directeur général de SIKO GROUPE. Ce chef d’entreprise a une vision claire de l’entrepreneuriat au-delà de la mode ou de la tendance. Il nous partage sa passion.
« Nous sommes aujourd’hui à une étape de développement de notre activité. Avec une trentaine de salariés et un chiffre d’affaire en croissance régulière. Nous pouvons en être fiers », se réjouit Koné Sibiry.
Soyez passionnés, travaillez sans relâche, endurez tout dans la patience ». Tel est le conseil que prodigue Koné Sibiry aux jeunes entrepreneurs. À la tête de des gadgets publicitaires. SIKO GROUPE, il dirige une trentaine de salariés. Titulaire d’un master en IT obtenu à Manipal University en Inde, Koné Sibiry, père de deux enfants, s’est forgé auprès d’industriels indiens. Il s’est véritablement imprégné de leur technologie.
Pourtant, tout n’a pas été rose pour lui. Au début, il a dû se heurter à un marché hostile aux emballages biodégradables. En effet, les usagers jugeaient le coût de ce nouveau type d’emballage trop élevé par rapport aux sachets plastiques. Par ailleurs, Koné Sibiry a fait face à une main d’œuvre peu qualifiée qu’il fallait former.
C’est en 2014 que Koné Sibiry, soucieux de la protection de l’environnement, lance SIKO GROUPE. Déjà à cette époque, sa vision est claire. Il rêvait de « bâtir une croissance durable et respectueuse des normes environnementales en apportant des solutions vertes dans le domaine du packaging ».
Huit ans plus tard, SIKO GROUPE a pris ses marques. Ses produits sont visibles dans les pharmacies, les pâtisseries, les supermarchés et les restaurations. L’entreprise propose des emballages alimentaires, des emballages de pharmacie, des sacs cabas et des box cartons.
SIKO GROUPE intervient également dans la confection des tenues industrielles, médicales et des gadgets publicitaires.
Koné Sibiry livre sa version de l’entrepreneuriat en appelant à une facilité d’accès aux financements. Au-delà d’une question de mode ou de tendance, l’entrepreneuriat doit être une passion. Il faudra initier la culture entrepreneuriale dès les classes primaires aux enfants. Au-delà des mots faudra véritablement créer les conditions d’incitation à l’entrepreneuriat », a-t-il souhaité.